Mes conseils d’entretien pour votre voiture…

 

 

Les conseils que je vous indique ci-dessous sont ceux que je mets en œuvre pour l’entretien de mes voitures depuis un certain temps déjà. Pour l’instant, je n’ai rencontré aucun problème, si ce n’est des félicitations du garagiste qui m’a racheté ma 405. L’acquéreur de la 106 s’est également montré très impressionné…

Donc, avertissement d'usage : je ne saurais être tenu pour responsable de l'application des conseils cités ci-dessous si tout venait à mal tourner ! On est bricoleur ou on ne l'est pas !...     ;-))

 

Votre entretien va se baser sur une bible : le manuel de votre voiture et son carnet d'entretien !

 

 

Sommaire :

 

A la conduite

L’entretien de la mécanique

L’entretien maison

Comment faire des économies à l’usage ?

L'entretien, source de plaisir

 

 

A la conduite

 

Une règle d’or : respecter sa mécanique, surtout à froid !

 

 

Moteur froid (pour moi cela représente les DIX (10) premiers kilomètres), je ne pousse pas du tout mon moteur. En clair, cela signifie que durant ces dix kilomètres, je reste dans la plage de régime comprise entre 2.000 et 3.000 tr/min. Et sans demander d’efforts violents à mon moteur.

Passés ces cinq premiers kilomètres, l’on peut demander un peu plus d’efforts à son moteur (monter très progressivement jusqu’à 3.500-4.000 tr/min).

Pour ma part, je considère mon moteur comme étant « chaud » à partir du QUINZIEME (15) kilomètre. Et pas avant !

 

Seconde règle importante : éviter tout trajet de moins de UN (1) kilomètre. L’usure et la consommation du moteur sont les plus importantes sur ce premier kilomètre ! D'autant plus qu'un peu de sport ne saurait pas vous faire de mal...    ;-))

 

Le rodage d’une mécanique neuve : opération primordiale à ne négliger sous aucun prétexte !

 

 

Désormais, avec les progrès de la métallurgie et des assemblages mécaniques, les constructeurs ne vous conseillent plus cette opération… Funeste erreur ! ! !

Le rodage est toujours aussi primordial dans la mesure où il permet l’ajustement « en direct » et en douceur de toutes les pièces en mouvement. Demander à sa machine le meilleur rendement dès sa sortie d’usine revient à la tuer à très grand feu.

Récemment encore, un de mes amis est venu me voir en se plaignant qu’il devait changer le moteur de sa Laguna à seulement 20.000 km ! Renseignements pris, cette personne avait cru son concessionnaire qui lui avait indiqué de rouler « à fond » dès le début !… No comment !

Un moteur dont le rodage est bâclé ou non fait dans les règles est une aubaine pour le garagiste qui devra le remplacer (opération à minimum 25.000 F) ! ! D’autant plus que les moteurs essence actuels sont dimensionnés pour parcourir 200.000 km sans incidents…

 

Pour un moteur turbo essence (comme miss Impreza  ;-) ), voici mes conseils (merci à mon ami Fifou pour son avis éclairé !)...

" La première chose à savoir, c'est que le turbo se déclenche en général après 2.500 tr/mn sur une essence (dynamique des gaz). Donc pour le rodage, il faut bien aussi roder le turbo ! En fait, de 2 à 3.000 trs/mn pendant 50 km, histoire de décrasser les soupapes, roder le moteur. Ensuite tu accélères progressivement pendant les 500 km suivants de façon à ce que le turbo fonctionne afin de le roder. De temps en temps, tu montes jusqu'à 5.000 tr/mn mais pas de zone rouge. Après 1.000 km, tu peux commencer de temps en temps d'aller en zone rouge + rupteur mais après tu relâches la pression afin de soulager. Evite de rouler le turbo à donf pendant longtemps (genre sur autoroute à 200 km/h...). Et quand je dis de temps en temps c'est 2 minutes sur 1 heure de roulage hein ! A 5.000 km, je te conseille une petite vidange d'huile moteur, ça ne fera pas de mal.

Ensuite, gaaaazzz !!! "

 

 

L’entretien de la mécanique

 

Un outil de base : le manuel du véhicule !

Ce livre est fourni avec tout véhicule et se révèle être une mine d’informations sur la périodicité de l’entretien de votre véhicule.

Trop souvent hélas, on voit des conducteurs(trices) négliger sa lecture. Et c’est une aubaine pour les garagistes indélicats (une race qui se développe de plus en plus) qui en profitent pour effectuer des opérations fantômes ; opérations qui seront bien entendu facturées au client !

 

Réclamez vos pièces !

Lorsque vous demandez à un professionnel d’effectuer une opération avec remplacement de pièces, EXIGEZ qu’il vous rende les pièces usées. Cela vous permettra de vérifier que les remplacements ont bien été effectués et que la pièce usée était bien « morte ».

Il est normal que vous exigiez ceci, dans la mesure où l’ancienne pièce vous appartient ! Cela évitera également qu’un garagiste peu scrupuleux ne récupère votre pièce, la reconditionne et la revende à un autre client (falsification qui est un délit trop souvent constaté !)…

Toutefois, en cas d’échange standard, ceci n’est pas possible car le principe de l’échange standard est que vous donniez votre pièce en échange d’une nouvelle. Mais dans ce cas, vous pouvez quand même demander à voir l’ancienne pièce…

 

Lors d’une réparation, certaines personnes choisissent de marquer les pièces pour vérifier si elles sont bien changées. Cela est valable pour vérifier si le démontage a bien eu lieu. Cela peut être un moyen de contrôle pour voir si le garagiste n’a pas fait d’opérations fantômes. Par exemple, lors du remplacement du liquide de freins, un garagiste peu scrupuleux ne va pas faire la purge des freins arrière. Dans ce cas, votre sécurité est gravement mise en danger car le liquide des freins arrière demeure l’ancien liquide avec toute sa dégradation due à son vénérable âge. Et il contaminera rapidement le nouveau liquide !

 

 

L’entretien maison

 

Le but du « jeu » est de faire des économies en court-circuitant les frais du professionnel. Tout en respectant les préconisations du constructeur, voire en les devançant.

 

MAIS ATTENTION !

Cela se fait à vos risques et périls et vous perdez immédiatement le bénéfice de la garantie du constructeur car les entretiens périodiques n’auront pas été « vus » par le constructeur de votre véhicule…

A titre personnel, tant que la voiture est sous garantie (autrefois un an, maintenant deux ans depuis avril 2002), je fais mon entretien dans le réseau. Histoire d’avoir le carnet d’entretien rempli. Cela permet également de faire corriger gratuitement tous les défauts de jeunesse de la voiture (principe de la garantie)… D’autant plus qu’avec l’avènement de l’électronique omniprésente, un particulier n’a plus les moyens d’acquérir les ordinateurs de diagnostic.

 

EGALEMENT :

Ne faites que les opérations d’entretien dont vous vous sentez réellement capable de réaliser !

A titre personnel, je ne touche JAMAIS au système de freinage de mes voitures (même le remplacement des plaquettes). Je laisse ces opérations à la charge des professionnels : il en va de MA sécurité et de celle D’AUTRUI ! ! Comme cela, en cas de problème, je sais vers qui me retourner…

 

La vidange du moteur :

 

C’est une opération des plus basiques qui demande juste un peu d’organisation.

En effet, l’huile usagée ne doit surtout pas être jetée dans la nature comme on le voit encore trop souvent. C’est un produit extrêmement toxique : un petit verre d’huile suffit à tuer toute forme de vie d’un étang ! Sa combustion dégage également des sous-produits tout aussi toxiques (métaux lourds notamment).

L’huile usagée doit être récupérée et versée dans des bornes de recyclage. Sinon, un professionnel de l’automobile doit accepter de vous indiquer comment s’en débarrasser.

 

Le filtre à huile doit être impérativement remplacé à chaque vidange. Dans ce cas, n’écoutez pas les indications de votre manuel qui vous dit de ne le faire qu’une fois sur deux ! Un filtre contient toujours entre 0,1 et 0,2 litres d’huile usagée ; laquelle va polluer votre huile neuve en moins d’un kilomètre. Et dans l’absolu, votre huile doit être à nouveau remplacée !

Autre raison : l’espacement de plus en plus important des vidanges. Actuellement, les préconisations des constructeurs vous indiquent des intervalles de vidange de 20 à 30.000 km (alors qu’il y a à peine dix ans, c’était de 5 à 10.000 km !). Cet espacement des vidanges a été rendu possible par les progrès des lubrifiants, mais aussi de la haute précision d’usinage des moteurs…

 

Attention également à ne pas effectuer votre vidange dans n'importe quelles conditions ! Ne mettez pas votre vie en danger en rampant sous une voiture soulevée à l'aide de son seul cric d'origine. Un petit choc, un boulon récalcitrant et ça peut être la voiture toute entière qui retombe sur vous en vous broyant au passage !...

 

Au passage, quel type d'huile employer ? Pour un prix à peine supérieur, je vous conseille très vivement de n'employer que de l'huile de synthèse qui est le top du top ! D'ailleurs, je n'emploie qu'elle, même pour la tondeuse et la motobineuse. C'est dire...

 

L’anticipation de certaines opérations :

Devancer certaines échéances d’entretien vous permettra de rouler l’esprit vraiment serein.

Dans cette optique, je pense surtout à l’opération de remplacement des courroies (notamment la courroie de distribution). Le constructeur fixe des échéances calculées en nombre de kilomètres ou en années (premier des deux termes échu). Il arrive encore que des éléments dimensionnés pour une certaine longévité cassent plus tôt. Et dans le cadre des courroies, celles-ci coûtent assez peu cher en regards des conséquences financières en cas de rupture : courroies à 100 F à comparer au remplacement d’un moteur à 25.000 F…

Pour la courroie de distribution, s’il est noté « remplacement à 90.000 km », je la change entre 70 et 80.000 km (90-100.000 km si elle est à remplacer à 120.000 km).

 

En règle générale, il ne faut pas oublier que pour l’entretien, il faut raisonner à la fois en termes de temps (années) et d’utilisation (kilomètres). Et également ajouter un facteur de type d’utilisation. Tout simplement parce que personne ne roule de la même manière. Une utilisation typiquement citadine va exiger des intervalles d’entretien plus rapprochés que ceux d’une utilisation grande-routière. En résumé, je dirais : 

 

 

Type d’utilisation

Facteur d’usure

 

 

Conduite agressive (pseudo-sportive) en ville uniquement

20

 

 

Ville, petits trajets à froid

10

 

 

Conduite agressive (pseudo-sportive) sur grands trajets

5

 

 

Trajets de moins de 10 km

3

 

 

Grands trajets sur nationales

1

 

 

Autoroute à allure raisonnable

0,8

 

 

En clair, une voiture qui ne fait que de la ville s’use dix (10) fois plus vite qu’une voiture effectuant principalement des grands trajets sur routes nationales. Un kilomètre de ville vaut dix kilomètres de nationale…

C’est pour cette raison que les voitures de ville ont des éléments fatigués en très peu de kilomètres : boites de vitesses (synchros notamment), cardans (soufflets), pneumatiques, direction, essoufflement et encrassement du moteur…

 

La permutation et le contrôle de vos pneumatiques :

    

 

A intervalles réguliers, je vous invite à contrôler la pression de vos quatre roues PLUS la roue de secours (que l'on néglige jusqu'au jour où l'on en a besoin et l'on découvre qu'elle est à plat !)... A titre personnel, je vous recommande de toujours rouler avec la "pression autoroute" : meilleure tenue de route, usure moindre.

A chaque contrôle de pression des pneumatiques, j'en profite pour regarder leur usure : témoins d'usure et défauts du parallélisme. Une roue s'usant de manière non régulière sur toute sa surface peut être le signe révélateur d'un déréglage du parallélisme de votre voiture...

 

 

Quant à la permutation avant/arrière des roues, les avis sont partagés sur la question... Deux règles à respecter toutefois :

Ø     Sens de rotation des pneus à respecter ;

Ø     Toujours mettre les pneus les plus usés à l'avant : un éclatement est plus facile à maîtriser s'il se produit à l'avant.

 

Le changement du filtre à air :

 

C'est une opération hyper-simple avec à la clé une économie substantielle !

Regardez dans votre manuel la marche à suivre pour le trouver, ouvrir son compartiment, le changer et tout refermer...

 

 

Comment faire des économies à l’usage ?

 

Premier poste le plus visible : la consommation en essence !

 

Une règle tellement évidente que personne n’y songe : levez le pied de l’accélérateur ! ! Bannissez toute forme de conduite pseudo-sportive (notamment en ville). Vous ne gagnez pas de temps, vous consommez nettement plus (facilement + 50 à + 100 %) et vous usez plus rapidement votre monture !…

Combien de fois ai-je remarqué des conducteurs tournant à droite donner un grand coup de gaz juste avant de piler sèchement ? ! ? Preuve d’une imbécillité monumentale…

En anticipant, non seulement vous évitez les à-coups générateurs de surconsommations, mais aussi vous roulez plus en sécurité ! « Amusez-vous » à suivre de près la voiture qui vous précède et vous verrez que votre stress augmente vertigineusement et que vous valsez sans cesse entre l’accélérateur et le frein. L’effet d’aspiration n’existe que sur circuit ! Et très peu de personnes au monde savent l’employer (et encore uniquement sur circuit entre pros) ! !

En résumé, deux notions : 

Ø     Anticipation : donc respect des distances de sécurité et regard porté vers l’avant ; 

Ø     Respect de votre monture : chaque appui sur la pédale de frein est la preuve d’une perte d’énergie, donc utilisez au maximum le frein moteur pour les ralentissements légers.

 

Seconde règle : bannissez les idées reçues !

Dans ce thème, j’entends par là qu’il ne faut pas systématiquement céder au chant des sirènes (sic !) du diesel…

En effet, nombre de personnes ne réfléchissent pas un instant au moment du choix ! Et pourtant les raisons d’hésiter sont nombreuses : 

Ø     Surcoût important lors de l’achat que ce soit en neuf (surcoût de l’ordre de 0 à 15.000 F voire plus à puissance équivalente) ou en occasion (la différence est encore plus élevée qu’en neuf !) ; 

Ø     Entretien du diesel plus onéreux et plus fréquent que celui d’une essence. Une essence se vidange tous les 20 à 30.000 km, contre 10 à 15.000 km pour les diesels modernes. Et sur les diesels (quelle que soit leur génération), il est nécessaire de procéder à de coûteuses opérations qui n’existent pas en essence : remplacement du filtre à particules (si équipé - tous les 80.000 km - 350 E minimum), retarage des injecteurs (vers 100.000 km - 450 E en moyenne), remplacement éventuel du turbocompresseur… ; 

Ø     Agrément d’utilisation du diesel moindre. Ceci est une donnée purement objective, mais pour ma part, j’exècre la puanteur, le bruit de castagnettes et les vibrations des motorisations diesel. Sans parler de leur apathie (quoiqu’il y a quelques très rares exceptions : BMW 330d notamment) ; 

Ø     Egoïsme face à la pollution cancérigène. Un moteur diesel crache via son pot de nombreux éléments nocifs : microscopiques particules cancérigènes notamment. Cette pollution n’affecte pas du tout le conducteur, mais est dirigée vers les voitures qui le suivent. A l’inverse, le conducteur d’une essence ne contamine que lui-même lors du plein de sa voiture (quelques vapeurs de benzène dans l’essence sans plomb) ; 

Ø     Sans oublier les mains grasses au moment de faire son plein d’huile lourde ! Beurk ! !

 

Oui, oui, j’ai fait mon choix et je le trouve pertinent au vu de mon kilométrage annuel (entre 16 et 18.000 km) !      ;-))

D’autant plus que la voiture essence a encore pas mal de progrès en vue, notamment en ce qui concerne sa consommation.

Et il y a aussi l’option GPL ! Pour avoir conduit deux voitures au GPL, je confirme son agrément d’utilisation et son économie à l’usage !

Les cas d’explosion dont la presse se fait l’écho ne concerne que des voitures en infraction à la législation car démunies d’une soupape de sécurité. Résultat, s’il y a le feu, le gaz ne peut pas se dilater normalement et crée de facto des surpressions conduisant à l’explosion du réservoir…

 

Troisième règle : respectez votre voiture…

J’ai déjà abordé ce fait ci-dessus, mais je le répète encore une fois… Si vous respectez les impératifs de votre voiture (conduite coulée à froid et à chaud, pas d’escalade violente de trottoirs…), elle vous le rendra !

Dieu vous le rendra au centuple©, votre voiture aussi !      ;-))

 

 

L'entretien, source de plaisir

 

A titre personnel, j'éprouve du plaisir à conduire une voiture que je sais en parfait état de fonctionnement comme on l'a vu ci-dessus. Mais je suis encore plus fier de moi si je roule dans une voiture qui montre son entretien ; en somme une voiture rutilante!

 

Le lavage de la carrosserie :

Une carrosserie propre est quand même plus agréable à regarder, non ?

Pour ma part, j'ai la chance de pouvoir disposer d'un endroit calme avec récupération des eaux sales. J'effectue cette opération à la main avec du Mir© (pub ! ;-) ) ou tout autre liquide vaisselle et une brosse achetée en centre auto.

Je fais un arrosage soigné de la carrosserie en insistant tout particulièrement sur les disques de frein et les radiateurs pour bien les nettoyer. Bien entendu, ceci doit se faire sur une voiture la plus "froide" possible afin d'éviter tout choc thermique.

Le passage de la brosse imprégnée se fait en mouvements circulaires. Pourquoi des mouvements circulaires ? Tout simplement parce que vous micro-rayez votre carrosserie à chaque lavage et que l'oeil repère moins facilement des micro-rayures circulaires que des micro-rayures droites (même principe lors du lustrage de la carrosserie).

Le rinçage est réalisé au fur et à mesure pour ne pas laisser de traces de produit nettoyant.

Je continue ensuite par les roues qui doivent impérativement être froides. Sinon, vous risquez de "cuire" la saleté et de l'incruster définitivement dans l'âme de votre alliage (jantes alu') ou de votre enjoliveur en plastique. Et après c'est fichu à moins de les polir et revernir !

Et pour finir, je nettoie également l'intérieur des portière (marchepieds), un endroit que l'on a toujours tendance à oublier...

Le séchage de ma voiture se fait à l'air libre et à l'ombre car j'ai la chance d'avoir une eau non calcaire et qui ne laisse pas de traces. Si ce n'est pas le cas, il faudrait employer une peau de chamois !

 

Le nettoyage de l'habitacle :

Pour ce faire, j'emploie un aspirateur ! Tout simplement...

Et aussi une éponge ! Pour nettoyer les plastiques au sol (côté conducteur).

Plus un chiffon et du produit vitre...

En somme, si vous savez faire le ménage dans votre maison alors vous n'avez aucune excuse pour garder un intérieur dégueulasse !... Avis aux dames qui sont les moins soigneuses de leur habitacle (alors que la maison brille !)...

 

La preuve ?

An moment de la vente de ma Xsara (un an et demi), ma voiture était toujours dans ce même état :